Aujourd'hui c'est chouette !

Aujourd'hui c'est comme ça

Transport en commun

pas commun du tout ;-)
C'est quand même chouette la montagne !

Controveses, l'expo

Peut-on tout photographier ? La photo appartient-elle à son sujet ou au photographe ? Dans quelle mesure une photographie dit-elle la vérité ? Un tirage peut-il avoir le statut d'une oauvre d'art ? Quelles sont les limites de la source d'inspiration, de la copie ou du plagia ? A partir d'une exposition de photos historiques, chocs ou anecdotiques, la BnF nous propose un parcours chronologique et particulièrement éclairant sur l'histoire de la photo, ses enjeux éthiques et juridiques.

L’exposition permettra de (re)découvrir des cas célèbres ou méconnus, tels le portrait d’Aldo Moro, otage des Brigades Rouges qui pose la question de l’instrumentalisation des médias, les premiers pas de Buzz Aldrin sur la Lune, Noire et Blanche de Man Ray qui s’est retrouvée au coeur de l’une des plus grandes affaires de vente de faux vintages, Le Baiser de l’Hôtel de Ville de Doisneau qui a coûté plusieurs procès à son auteur, le célèbre Kissingnun d’Oliviero Toscani, qui bouscule les tabous ou encore le portrait d’Alice Lidell par Lewis Carroll, qui jeta le trouble sur la personnalité de l’écrivain...

Au-delà des débats sur le droit d’auteur et le droit à l’image, pourquoi des photographies sont-elles appréciées, voire adulées, d’autres censurées et poursuivies ? Fruit de plusieurs années de recherches, l’exposition apporte des éléments de réponse grâce à un choix de photographies qui, confrontées aux lois ou aux problèmes éthiques, illustrent le regard que les sociétés portent sur les images de leur temps.

Initialement présentée au Musée de l'Elysée de Lausanne, l'exposition propose un large choix de photographies, célèbres ou méconnues, qui ont fait l'objet de procès ou de polémiques, des débuts du medium jusqu'à l'art contemporain. L'ensemble permet ainsi de mieux comprendre le regard que les sociétés et les cultures portent sur les images de leur temps.

Exposition
du 3 mars au 24 mai 2009
BnF - Site Richelieu
58 rue de Richelieu, Paris IIe
Galerie de photographie

Du mardi au samedi 10h-19h
Dimanche 12h-19h
Fermé lundi et jours fériés
Entrée : 7€ , TR : 5€

Laissez moi sortir!!

CONFIDENTIALITY NOTICE The information contained in this e-mail is intended only for the confidential use of the above named recipient. If you are not the intended recipient or person responsible for delivering it to the intended recipient, you have received this communication in error and must not distribute or copy it. Please accept the sender's apologies, notify the sender immediately by return e-mail and delete this communication. Thank you.

Pornic

Confort et ergonomie

Formidable conception de la gare Montparnasse à Paris, prévue pour les voyageurs pressés et encombrés de bagages ...

Mais que cherchent les chercheurs ?

Après quelques semaines d'absence, je retrouve la France avec ses sempiternels conflits à propos de l'éducation nationale et des université. Mais que cherchent les chercheurs ?


Pourquoi les enseignants-chercheurs qui ont passé des concours, qui notent systématiquement leurs élèves, refusent-ils d'être évalués ?

Pourquoi les enseignants-chercheurs préfèrent-ils que leur sort - recrutements, la charge de travail, les thématiques de recherche - soit décidé nationalement par 54 sections du Conseil national des universités lourds et administratifs, plutôt que part que par leur président d'université qu'ils ont démocratiquement élu et sur qui ils peuvent avoir un contrôle ?

Nous avons l'éducation nationale la plus pléthorique du monde, or elle n'est pas la plus performante : nos chercheurs publient moins que les britanniques ou les allemands, nos lycéens ne sont pas en tête des classement européens et nos universités sont très loin de la tête des classement mondiaux (pour ne citer que quelque exemples). Alors pourquoi les enseignants demandent-ils toujours des augmentation d'effectifs, comme si la performance était directement liée au nombre de fonctionnaires ?

AirFrance se rhabille pour le printemps

Quoi de mieux quand il fait froid, que le ciel est bas (tant mieux car c'est peut-être le plus bel endroit de la Terre), que la crise sévi, que de craquer pour une nouvelle garde-robe ? AirFrance l'a bien compris et se rhabille pour le printemps ! Rassurez-vous, la nouvelle livrée n'a rien de trash ou de révolutionnaire : elle est juste un peu moins nationale et plus "friendly".



"Le nouveau logo - dessiné par l’agence Brandimage - s’écrit désormais en un seul mot, reflétant ainsi l’ambition d’Air France, dont plus de la moitié des clients sont des étrangers à la France, de s’affirmer comme une marque internationale."

Et Paris revet son manteau neigeux ...

Ce matin, canal Saint Martin, c'est toujours l'hiver.